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Peer-Reviewed Publication
Des chercheurs de l'Université McGill ont peut-être trouvé une solution pour freiner l'addiction aux smartphones.
Des chercheurs de l'Université McGill ont découvert de nouveaux indices permettant de comprendre comment les orques influent sur leur environnement.
Une étude dirigée par l’Université McGill révèle que les commotions cérébrales de l’enfant peuvent se manifester par des symptômes similaires, bien que les lésions laissées par le traumatisme soient différentes. Ce constat pourrait conduire à de nouveaux traitements.
Des chercheurs de l'Université Concordia ont effectué des analyses de protection des renseignements personnels et de sécurité informatique sur plus de 150 000 sites Web gouvernementaux répartis dans 206 pays et plus 1 150 applications Android utilisées dans 71 pays. Ils ont constaté que 17 % des sites gouvernementaux et 37 % des applications Android utilisées par les gouvernements contenaient des technologies de suivi de Google. Ils ont également déterminé que plus du quart des applications Android, soit 27 %, laissent fuir des renseignements sensibles que des tiers ou d’éventuels pirates peuvent utiliser à leur guise.
Les êtres humains, comme la plupart des organismes vivants, sont continuellement exposés à une alternance de températures. Ces variations environnementales provoquent d’importants effets métaboliques et entraînent une adaptation constante. Cependant, malgré certains effets potentiellement bénéfiques de la chaleur ou du froid sur la santé, leur impact sur les différents organes et sur le corps dans son entier restait inconnu. Pour décrypter les mécanismes biologiques à l’œuvre, une équipe de l’Université de Genève (UNIGE) a analysé simultanément les modifications de l’expression des gènes dans divers organes chez la souris. Il s’avère que ceux-ci réagissent fortement aux changements de température selon une modulation propre à chacun. Pour encourager la recherche et d’éventuelles applications thérapeutiques, les scientifiques ont créé une application web où des milliers de profils d’expression génique peuvent être consultés librement. À lire dans la revue eLife.
Une nouvelle technique d’imagerie cérébrale peut potentiellement être utilisée dans le cadre de dépistages à grande échelle de la maladie d’Alzheimer, tout en fournissant des renseignements sur les stades précoces de la maladie, bien avant l’apparition des symptômes.
D’après des chercheurs de l’Université McGill, et leurs collègues d’Italie, l’utilisation d’analgésiques anti-inflammatoires, stéroïdiens ou non, ferait augmenter les risques d’apparition de douleurs chroniques. Leur étude remet en question les méthodes classiques d’atténuation de la douleur. L’inflammation fait partie du processus normal de guérison d’une blessure douloureuse, et en la contrant au moyen de médicaments, on risquerait de rendre le traitement de la douleur plus difficile.
Des scientifiques du CNRS, de l’Institut Pasteur, de l’Institut flamand de biotechnologie et de l’Université libre de Bruxelles viennent de livrer la première étude de la structure et du fonctionnement d’une protéine centrale du foie : NTCP, porte d’entrée des sels biliaires, mais aussi de certains virus de l’hépatite. Publiés dans la revue Nature, ces résultats dévoilent la structure 3D de NTCP, et deux formes qu’elle peut adopter. L’une d’entre elles pourrait aider à la mise au point d’outils thérapeutiques contre l’infection par les virus de l'hépatite.
Au moyen d’une technique mise au point par le Pr Suong Hoa de l'Université Concordia, connue sous le nom impression 4D de composites, les chercheurs ont mené une étude de faisabilité de la mise en œuvre d’une nouvelle façon de fabriquer des ailes souples adaptatives intégrant un système de bord de fuite. La technologie expérimentale permet de remplacer le volet d’aile articulé couramment utilisé par un volet fixé au corps principal de l’aile et capable de se plier jusqu’à 20 degrés.
La moitié des cancers chez l’enfant prennent leur origine lors du développement de l’embryon, ce qui rend la recherche particulièrement complexe. L’équipe de Valérie Castellani, directrice de recherche CNRS a donc développé un modèle permettant de reconstituer au mieux cet environnement embryonnaire. Grâce à ce modèle, une nouvelle étude révèle que des cellules pourtant saines, peuvent influencer la progression de tumeurs lors du développement de l’embryon.